Dans les années 1970, un passe-plat était souvent le lien idéal entre la cuisine et la salle à manger, surtout dans les maisons jumelées et mitoyennes. Avec l’apparition de plus en plus fréquente de types de cuisines ouvertes, il a perdu de son importance. Dans les bâtiments existants, construire soi-même un passe-plat moderne permet d’étendre l’utilisation et le confort de manière moderne.

Vérifier la maçonnerie

Beaucoup de gens s’imaginent qu’un passe-plat est constitué de deux trappes typiques sur le mur, qui font le lien entre le coin repas et la cuisine. Une architecture d’intérieur moderne et contemporaine peut également être mise en œuvre au-delà de ce prototype. Lors de la conception d’un passe-plat, des ouvertures plus grandes peuvent créer un effet d’espace ouvert. Des fenêtres coulissantes en verre véritable ou acrylique servent de barrière contre les odeurs sans réduire l’incidence de la lumière et l’espace.

Lors de la planification d’un passe-plat, il faut d’abord vérifier auprès du client si l’emplacement du passage mural est limité d’une manière ou d’une autre sur le plan statique. Dans de nombreux cas, les murs de séparation entre la cuisine et le séjour n’ont pas de fonction portante. Outre cette circonstance, deux autres caractéristiques de construction doivent être vérifiées :

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  • Maçonnerie ou nature des murs
  • Eventuelles conduites d’alimentation en électricité et/ou en eau
  • Insérer les remplissages dans le cadre dormant

    Un passe-plat ressemble à la construction d’une fenêtre. Le cadre de maçonnerie se compose d’une huisserie périphérique. Le cas échéant, un élément de linteau stabilisateur doit être placé à l’extrémité supérieure. Différents types de panneaux peuvent être montés dans le cadre :

  • Une ou deux portes rabattables opaques ou transparentes
  • Portes coulissantes en bois, en verre véritable ou en acrylique
  • Fermeture de volets roulants ou de stores vénitiens
  • Variante ouverte sans remplissage
  • Portes pliantes avec technique d’accordéon
  • Préparer la percée avec des trous de forage

    Lors du percement d’un mur, on perce généralement un trou rectangulaire. Idéalement, le percement doit suivre le tracé de la maçonnerie existante. Comme limite supérieure ou linteau, il faut choisir une position des briques qui permette aux briques de dépasser des deux côtés dans la zone non percée.

    Lors du percement, les coins et le centre de la surface du mur peuvent être percés. Il est ensuite utile de percer des trous à des intervalles d’environ cinq centimètres. Il faut toujours travailler de haut en bas. Les lignes de perçage doivent ensuite être retaillées au marteau et au burin. Le burin doit toujours être incliné de manière à ne produire des éclats qu’à l’intérieur du futur trou.

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    Vous pouvez égaliser les éventuelles irrégularités sur les bords du percement avec de la mousse de construction. Vous devez veiller à ce que le revêtement recouvre les éventuelles fentes d’écartement par des jupes ou des bordures.

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